La CFTC (Commodity Futures Trading Commission), agence de régulation du marché des matières premières aux États-Unis a déclaré que Bitcoin et les autres crypto-monnaies étaient maintenant reconnues comme matières premières, tout comme l’or, le pétrole, le maïs ou le blé. Décision annoncée dans un communiqué de presse le 17 septembre, lorsqu’elle ordonnait à Coinflip, une entreprise exploitant une plateforme de produits dérivés sur le bitcoin, de cesser ses activités pour non respect de la réglementation.
Par cette décision de la CFTC, le bitcoin et les crypto-monnaies viennent donc accroître le marché des matières premières que sont l’énergie (pétrole brut, mazout, gaz naturel et essence), les métaux (or, argent, platine et cuivre), le bétail et les viandes (porcs, bovins), l’agricole (maïs, soja, blé, riz, cacao, café, coton et sucre). Historiquement et même aujourd’hui, la négoce des matières premières a un impact économique sur les nations et les populations.
Cette décision aurait un impact positif dans l’écosystème des crypto-monnaies parcequ’elle protégerait les acheteurs et vendeurs contre des arnaques de toutes sortes. Désormais toute entreprise désirant négociés des produits dérivés du bitcoin devra s’enregistrer. Le bitcoin est vu différemment par les différents organismes au États-Unis et au Canada. Aux États-Unis, la Securities and Exchange Commission (SEC) le considère comme une monnaie, tandis que Internal Revenue Service (IRS), le considère comme une propriété et. Au Canada, Revenu Canada le considère comme devise étrangère au même titre que l’euro, le dollar ou le yen.
Pascal Ngu Cho, BitConsul
Contributeur
Par cette décision de la CFTC, le bitcoin et les crypto-monnaies viennent donc accroître le marché des matières premières que sont l’énergie (pétrole brut, mazout, gaz naturel et essence), les métaux (or, argent, platine et cuivre), le bétail et les viandes (porcs, bovins), l’agricole (maïs, soja, blé, riz, cacao, café, coton et sucre). Historiquement et même aujourd’hui, la négoce des matières premières a un impact économique sur les nations et les populations.
Cette décision aurait un impact positif dans l’écosystème des crypto-monnaies parcequ’elle protégerait les acheteurs et vendeurs contre des arnaques de toutes sortes. Désormais toute entreprise désirant négociés des produits dérivés du bitcoin devra s’enregistrer. Le bitcoin est vu différemment par les différents organismes au États-Unis et au Canada. Aux États-Unis, la Securities and Exchange Commission (SEC) le considère comme une monnaie, tandis que Internal Revenue Service (IRS), le considère comme une propriété et. Au Canada, Revenu Canada le considère comme devise étrangère au même titre que l’euro, le dollar ou le yen.
Pascal Ngu Cho, BitConsul
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